Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Qué Ki Dit ?

11 février 2008

Considération matinale (première)

07:25...
Le réveil sonne.
« NON ! » *bouche pâteuse, haleine fétide, paupières collées*

07:27
Imperturbable, la sonnerie insiste.
« ARGH, ça recommence pinaise ! »

07:29
La menace est pressente. Si alors je ne me lève pas, je sais que le réveil abandonnera la partie. Et ni lui ni moi n’auront gagnés, c’est là le drame.

Et tous les matins, surtout lorsque la journée promet un salle temps de chier (1), que les contrôles promettent de mauvais résultats et que les promesses promettent le diable tout en promesse, la scène se répête, je ne veux pas me lever. Sept heures, vingt-cinq minutes « c’est trop tôt » implore-je dans une supplication tout aussi muette que douloureuse. Imaginez donc mon désarroi lorsque ce matin, il m’aura fallu avoir levé ma carcasse à six heures ! En effet, ayant hier soir pour des moments agréables passés avec ma douce, déserté mon bon logis, j’ai dû ce matin et se fut le prix à payer, m’adapter aux horaires de sa fac...
Pourtant, au contraire de ce que laisse présager la tonalité pathétique de cette suite de mot j’affirme, une fois bien réveillé, c’est alors facile à présent, que de se lever en avance a du bon (2). Ainsi, on peut trouver le temps de :
déjeuner une fois...
Puis en rentrant chez soi, une seconde...
Et même, parfois, de publier deux trois conneries sur un weblog.

Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, j’en suis convaincu désormais. Et à ce sujet, mon double petit déjeuner m’ôte toute réserve contradictoire.

1. Expression attribuée à l’état de demi conscience, lorsque le cerveau indigné par l’immonde éveil, enrage contre la disparition de son droit au sommeil.
2. Essayez au prochain matin, de me faire répéter cela, juste pour voir...

Publicité
5 février 2008

Windows Millenium, une stabilité à toute épreuve

Plus que les ourlets d’un jean traînant au sol par jour de pluie, j’exècre les gens qui donne avis ou conseil de façon insolemment assurée, dans un domaine qu’ils ne connaissent qu’à peine.
Pourtant, je dois avouer que parfois, c’est drôle. Ainsi, j’ai aujourd’hui pu savourer cette formidable réplique :

« Nan mais dans les Windows, ceux qui plantent le moins c’est le 98 et le Millenium. »

Un gourou éclairé des nouvelles technologies, sans doute. Comme il y en a beaucoup, finalement. S’y connaître en informatique, c’est assez fashion.

28 janvier 2008

Après mauvaise pizza, demandez clémence

Lorsque l’on commande une pizza et qu’elle n’est pas bonne déjà à la base, ce n’est pas terrible.
Lorsqu’il s’agit de faire, un surlendemain réchauffer ce type de pizza (par goût du masochisme probablement), c’est assez terrible.
Mais alors que cette même pizza réchauffée et initialement mauvaise, est mangée à peine tiède voire carrément froide, pas même « terrible » ne suffit à qualifier la pernicieuse Abomination.

Pauvres pécheurs, priez pour moi et mon estomac. Aidez-moi Mon Père, à contenir et surmonter cette expérience ultime.

27 janvier 2008

Noir, verts et blanc

Je n’ai jamais pu m’en empêcher. Pourtant, bouh, c’est mal de voler de l’argent. Mais, j’ai toujours admiré ces personnes qui sans violence, arrivaient à filouter des sommes indécentes. Par ailleurs, peu m’importe qu’ils les touchent, ou pas, puisque l’action en elle-même suffit à me mettre en joie.
Et le comble de mon bonheur, le plus haut point de la culminance du sublime intersidéral, c’est quand le mec disparaît juste après et ce, alors que l’écume aux lèvres, des armoires à glaces aux dents brillantes et effilées, jurent de « couper les couilles » du malotru, dès sa capture. Tristes épouses qui En parallèle et chaque nuit, durant vingt années, subissent le sommeil agité des enquêteurs qui aspirent jusqu’aux plus profonds de leurs songes, à la terrible vengeance qui ne cesse jamais de se faire attendre.
Si alors, par malheur le pauvre Homme est un jour récupéré, il paiera probablement plus cher que n’importe quel tueur, violeur ou pédophile et surtout si l’argent dérobé, appartient à l’état. Oui, car à ce sujet, l’état est très susceptible, mais ceci est une autre histoire dénuée de morale autant que de logique, dans laquelle une vie vaut peut-être moins que du papier. Ne poussons pas plus en avant nos considérations superficielles et de surcroît hors sujet.

Soyez tranquille en tout cas, puisque en aucun cas Sherlock Holmes, ne pourra rattraper Arsène Lupin. En aucun cas...

17 janvier 2008

Welcome in Elodie's World

« PUTAIN, EH, ce midi je suis restée comme une conne pendant dix minutes devant mon interphone ! Je sonnais, je sonnais et personne répondait. PUTAIN EH, ça m’a trop *wwwwwwwooooooouuuuuuuhhhhhhhh*, en plus dans le froid quoi. Franchement, j’étais trop dégouttée, alors ma mère elle me voit à un moment, j’fais "PUTAIN, EH, ça fait 10 minutes que j’attends devant l’interphone et que je sonne, je sonne !" Et là, tu sais pas ce qu’elle me dit ? *prenant une petite voix d’imitation ironique* :
"Et ben, tu pouvais pas sonner chez d'autres gens pour qu’ils t’ouvrent ?!" putain. J’fais, euh, enfin je me rappelle plus trop c’que j’lui fais, enfin bon.. Après, ma mère me dit "j’vais t’balancer les clés par le balcon.". PUTAIN, EH, fioooouuuuh c’est pas trop tôt. J’fais comme ça avec mes bras *écarte les bras comme pour rattraper quelque chose* et là, PUTAIN, les clés, elles tombent, MAIS, juste à côté quoi ! PUTAIN, EH, j’avais l’air trop conne. Alors, je les reprends par terre et après, je monte mes marches. TU sais combien de temps j’ai mis cette fois ? PUTAIN EH, j’ai battu mon record de l’autre fois, une minute et deux secondes ! J’ai manquée de me casser la gueule à un moment, en plus trop la honte quoi, devant ma voisine. J’ai fais comme si de rien, j’ai continuée, mais putain, j’fais, trop la honte quoi. J’arrive en haut, à ma porte et j’fais *imitation d’un essoufflement exagéré*... J’étais trop morte.
"Bon aloooors, tu rentres ? Tu vas pas rester là deux heures aussi hun." Putain, j’fais, ben attends maman, chuis fatiguée là, eh. Putain, j’étais trop trop trop morte. Enfin bon, donc voilà quoi.
En plus après, y’a le copain de... »

D’accord, d’accord. J’arrête. C’est dur à supporter n’est-ce pas ? Imaginez ce que ça fait à entendre. Et j’ai le droit à une nouvelle histoire, presque chaque matin et nouveau midi, lors de notre trajet vers la salle promise, la salle de cours.
Ah... Si seulement ses récits avaient autant d’intérêt que d’expressions redondantes.

« Qui n’a jamais connu de ces bavards, toujours sur le point de dire quelque chose. » Bergson, (mon ami)

Publicité
30 décembre 2007

The Merzhin Podcast

En retard, oui. Je m’en excuse, j’ai subis quelques contretemps et pourtant le voilà tout de même.
Au format mp3, encodé à 192kbps à partir d’une source ogg, le poids est de 38,2 Mo, pour 27 minutes et 51 secondes. Le podcast porte sur le groupe Merzhin et plus particulièrement sur leur album sorti en 2002, Adrénaline. En plus et en bonus exclusifs, des extraits du concert à Bercy, de Vanessa Paradis qui a refermée sa tournée le 19 décembre, c’est donc encore tout frais. Ajouté à un mix entre Dionysos et Jacques Dutronc, (du fait maison), vous pouvez télécharger ce tout en un

ici même

Bonne écoute !

9 décembre 2007

J.A.

Quel est ce sentiment de morosité ? Sans pouvoir en tracer les contours, je le sens aussi sûrement que la pluie de ce ciel gris. Ils me l’ont tous souhaités, amis, familles. Alors quoi ? Cela ne me suffit-il encore pas ? Pourquoi ce pincement qui dur, qui dur. Sourire de glace, figé parmi le temps qui passe, pour ne pas briser la gaieté alentours.

« Ca fait quoi d’avoir 19 ans ? »
Ça fait chier, à défaut de rien d’autre. (Je m’étonne encore de mon égoïsme.)

6 décembre 2007

Ca me hante

Je dors dans un lit une place. Radicalement, je sais bien que ç’là ne vous fait ni chaud ni froid. Peu importe, ce n’est pas où je veux en venir.
Je suis donc habituer à dormir dans un lit à place unique, mais un soir que je logeais ailleurs, le couchage qui m’était destiné fut de deux places. Et plutôt que de pleinement profiter de l’espace supplémentaire qu’il m’était permit d’occuper seul, une question, terrible, aussi traître qu’une plaque d’égout mouillée m’est apparu, fatale à ma paix intérieure.

Valait-il mieux se réjouir d’un espace si généreux, ou plutôt se morfondre que d’en être le seul occupant ? Rah vache, m’avait pourrie ma nuit cette question ! Et encore, si c’était la seule ! Ouais, si seulement c’était la seule...
A votre avis, comment se fait-ce qu’une fois un paquet de gâteaux ouvert, les durs finissent par mollir et les mou genre madeleine, dursisses ? C’est juste pour nous emmerder ?
Et si un jour, la France était victime d’une attaque aérienne ou d’un autre pépin, un premier mercredi du mois à midi... Comment nous ci    viles, on ferait la différence avec les tests hebdomadaires des sirènes ? Ben on ne la ferait pas et c’est tout. Enfin si, juste avant de crever.
Est-ce qu’on peut se réveiller un matin et n’être plus que croute ? « Oh, bonjour Monsieur Croute, vous allez bien ce matin ? » « Bon chéri, ne reste pas trop longtemps sous la douche, tu sais bien que tu mollis. Et ne te gratte pas, autrement tu vas encore te répandre partout et on voit bien que c’est pas toi qui fait le ménage, ici hun. »

Oui, oui. La folie n’a pas de bornes. Là-dessus au moins, je suis fixé.

29 novembre 2007

Comme les jours semblent longs, en ta compagnie

Et pourquoi se ne devrait être que pour les enfants ?
... Je m’en fous, je suis toujours un enfant d’abord. Et puis enfant ou pas, j’en ai eu un moi aussi. Sauf que pour encore environ 29 heures, il va me torturer. Le calendrier de l’avant, c’est la tentation même. Une tentation envoyée par Dieu sur Terre, pour découvrir ceux qui ne résistent au péché de la gourmandise. Parce que même une fois décembre entamé, il n’est permit d’ouvrir qu’une seule et unique case par jour putain ! Non, non, pas trois puis ensuite plus ou moins naïvement, croire qu’on pourra se priver les deux jours suivants (pauvre leurre qui ne fonctionne de toute façon jamais), franchement non, condamné à qu’une ! A quand les calendriers de l’avant, à vingt-quatre cases par jour, pour pouvoir manger à chaque heures de tout décembre ?

Ouais... Sous ses allures de cadeau inoffensif, il cache bien son jeu, le vicieux. Même le nom prête à confusion. Mais en fait non hun. Ne vous y trompez pas... Calendrier de l’avant, ça ne veut pas dire qu’on peut commencer (AVANT !) décembre, ni plus qu’on peut manger toutes les cases (AVANT !) la vraie date !
Paradoxalement, je suis quand même bien content d’en avoir un.
* Kuah soupire d’impatience, le doigt sur la case |1er décembre| *

Ps (rien avoir):
Je n’ai pas eu de réactions sur l'article concernant les artistes proposés pour le podcast, à croire qu’il n’y a que des bots qui visite ce blog. Enfin donc, par défaut il portera sur le groupe Merzhin, sauf s’il y a protestation, ce dont je doute puisque les bots ne protestent que très rarement.

25 novembre 2007

La Chanson du Président

Hier, je me suis fais une petite séance nostalgie musicale.
Rah, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dis ! Non, je n’ai pas écouté Nostalgie, mais simplement des titres qui m’avaient marqués plus ou moins, il y a de cela trois ou quatre ans. Et en réécoutant l’album de Kyo, le Chemin, j’ai redécouvert la chanson Tout Envoyer en l’Air. Redécouvert, le mot convient parfaitement.
EN écoutant les paroles, je me suis mis à rire bêtement. J’avais trouvé une nouvelle signification à cette chanson, un fan potentiel aussi. Alors, je me suis amusé et j’ai fais interagir notre président à ces mêmes paroles. Pour découvrir, deux téléchargements possibles :

Ici au format Ogg Vorbis, avec un poid de 1,26MO Et là, au format MP3 pour un poids de 3,00MO

Je précise que l’encodage pour le Ogg et le Mp3 sont identiques, alors si vous avez un player compatible Ogg, se serait dommage de ne pas en profiter !

Quoi qu’il en soit, bonne écoute.

Publicité
1 2 3 4 > >>
Publicité
Publicité